La situation actuelle :
Depuis peu, l'empire dérigion relève la tête. La reconstruction de Bigget et les nouvelles patrouilles envoyées par la capitale favorisent le commerce. Les vieilles routes désertées se repeuplent peu à peu. Même si le chemin qui passe à Pont-aux-lièvres n'est pas un axe essentiel, il profite aussi de ce regain d'activité. Il est trop tard pour sauver le village, mais l'auberge est bien partie pour redevenir une bonne affaire. Cela n'a pas échappé à quelques vautours, truands et autres arnaqueurs.
Plusieurs groupes ont envoyé des représentants dans le coin pour essayer de mettre la main sur la bonne affaire avant la concurrence. En fait, tout cela aurait pu finir en un bel exemple de négociations tous azimuts.
Seulement voilà, le vieux Mondin a attrapé la crève cet hiver, et après des semaines de fièvres et de toux grasse, il se meurt. Du coup, les héritiers divers, les partenaires en affaires et les « vieux amis » sont sur le pied de guerre. Et devinez qui va devoir s'en mêler ?
Qu'est ce qu'on fiche ici ?
Voici les raisons qui amènent chacun des prétirés à Pont-aux-lièvres.
Hubert :
Passionné d'histoire, Hubert passe beaucoup de temps dans les archives de sa famille. Il y à peu, il a mis la main sur les mémoires d'un aïeul originaire de Sourtie. Le texte contenait des mentions à un vieux manoir situé à Pont-aux-lièvres.
Cet aïeul fait partie d'une branche obscure de la famille et Hubert s'attendait à trouver de précieux documents ou de vieilles reliques familiales au manoir. En découvrant les ruines du village, il a subit une violente déception. Il espère encore trouver un indice sur l'emplacement du bâtiment auprès des habitants du village ou en fouillant lui-même le secteur.
Loran :
Engagé par Hubert, Loran est ravi de faire un tour à la campagne, payé, nourri et blanchi. En plus, le petit noble paye bien et la région n'est plus aussi dangereuse qu'autrefois. En bref, ce seront sûrement de petites vacances bien tranquilles.
Et s'il faut gratter un peu dans de vieilles pierres pour faire plaisir au rupin, ce n'est pas si grave. C'est toujours moins risqué que de se battre en duel dans les ruelles de Pôle.
Karim :
Une bande de commerçants de Pôle – la guilde des roues d'or – a envoyé Karim à l'auberge. Son but est de préparer le rachat du bâtiment, avec ou sans son personnel. Avec le contrôle du pont et le peu d'auberge dans le secteur, c'est une affaire en or. Seul soucis : d'autres sont déjà sur le coup. Il va donc falloir la jouer fine, et trouver qui influencer, comment et sans dépenser trop.
Sandrine :
Engagée par Karim pour lui servir de garde du corps, Sandrine n'est pas ravie de la situation. Non seulement elle sent que la situation risque de trainer en longueur, mais elle n'aime pas du tout le village en ruine. Ce n'est rien de très précis ; elle ne saurait même pas comment expliquer cette sensation. Mais plus vite son patron aura réglé ses affaires, plus vite elle pourra le reconduire à Pôle et toucher son salaire.
Chamou :
Avec le retour de l'Empire en Sourtie, la contrebande risque de devenir un peu plus difficile. Chamou est donc venu à l'auberge pour convaincre le patron d'installer un petit commerce d'épices en toute discrétion. Soyons clair : on parle ici de dealer des produits de contrebande au nez et à la barbe des patrouilles de l'Empire.
Bien sûr, il faudra d'abord déterminer qui est le patron, ou qui ce sera la semaine prochaine.
Voila les persos :
https://drive.google.com/open?id=0B0DUnLoV5IlqTWpfdl9RYmxDLW8&authuser=0
Depuis peu, l'empire dérigion relève la tête. La reconstruction de Bigget et les nouvelles patrouilles envoyées par la capitale favorisent le commerce. Les vieilles routes désertées se repeuplent peu à peu. Même si le chemin qui passe à Pont-aux-lièvres n'est pas un axe essentiel, il profite aussi de ce regain d'activité. Il est trop tard pour sauver le village, mais l'auberge est bien partie pour redevenir une bonne affaire. Cela n'a pas échappé à quelques vautours, truands et autres arnaqueurs.
Plusieurs groupes ont envoyé des représentants dans le coin pour essayer de mettre la main sur la bonne affaire avant la concurrence. En fait, tout cela aurait pu finir en un bel exemple de négociations tous azimuts.
Seulement voilà, le vieux Mondin a attrapé la crève cet hiver, et après des semaines de fièvres et de toux grasse, il se meurt. Du coup, les héritiers divers, les partenaires en affaires et les « vieux amis » sont sur le pied de guerre. Et devinez qui va devoir s'en mêler ?
Qu'est ce qu'on fiche ici ?
Voici les raisons qui amènent chacun des prétirés à Pont-aux-lièvres.
Hubert :
Passionné d'histoire, Hubert passe beaucoup de temps dans les archives de sa famille. Il y à peu, il a mis la main sur les mémoires d'un aïeul originaire de Sourtie. Le texte contenait des mentions à un vieux manoir situé à Pont-aux-lièvres.
Cet aïeul fait partie d'une branche obscure de la famille et Hubert s'attendait à trouver de précieux documents ou de vieilles reliques familiales au manoir. En découvrant les ruines du village, il a subit une violente déception. Il espère encore trouver un indice sur l'emplacement du bâtiment auprès des habitants du village ou en fouillant lui-même le secteur.
Loran :
Engagé par Hubert, Loran est ravi de faire un tour à la campagne, payé, nourri et blanchi. En plus, le petit noble paye bien et la région n'est plus aussi dangereuse qu'autrefois. En bref, ce seront sûrement de petites vacances bien tranquilles.
Et s'il faut gratter un peu dans de vieilles pierres pour faire plaisir au rupin, ce n'est pas si grave. C'est toujours moins risqué que de se battre en duel dans les ruelles de Pôle.
Karim :
Une bande de commerçants de Pôle – la guilde des roues d'or – a envoyé Karim à l'auberge. Son but est de préparer le rachat du bâtiment, avec ou sans son personnel. Avec le contrôle du pont et le peu d'auberge dans le secteur, c'est une affaire en or. Seul soucis : d'autres sont déjà sur le coup. Il va donc falloir la jouer fine, et trouver qui influencer, comment et sans dépenser trop.
Sandrine :
Engagée par Karim pour lui servir de garde du corps, Sandrine n'est pas ravie de la situation. Non seulement elle sent que la situation risque de trainer en longueur, mais elle n'aime pas du tout le village en ruine. Ce n'est rien de très précis ; elle ne saurait même pas comment expliquer cette sensation. Mais plus vite son patron aura réglé ses affaires, plus vite elle pourra le reconduire à Pôle et toucher son salaire.
Chamou :
Avec le retour de l'Empire en Sourtie, la contrebande risque de devenir un peu plus difficile. Chamou est donc venu à l'auberge pour convaincre le patron d'installer un petit commerce d'épices en toute discrétion. Soyons clair : on parle ici de dealer des produits de contrebande au nez et à la barbe des patrouilles de l'Empire.
Bien sûr, il faudra d'abord déterminer qui est le patron, ou qui ce sera la semaine prochaine.
Voila les persos :
https://drive.google.com/open?id=0B0DUnLoV5IlqTWpfdl9RYmxDLW8&authuser=0